Cette vaste carrière de calcaire a servi de refuge aux soldats français durant la période 14/18. Les témoignages sont très nombreux et encore bien conservés. Une chapelle souterraine richement décorée est visible dans une zone de la carrière.
Chapelle souterraine
La carrière
Au même lieu dit plusieurs carrières souterraines de taille moyenne. récapitulatif de plusieurs visites de 2019 à 2021.
Carrière 1 :
Carrière 2 :
Carrière 3 :
Cette carrière de calcaire moyennement étendue est dans un état de préservation plus correct. Le chemin d’accès est quasi invisible depuis la route, il faut savoir où chercher pour espérer la localiser. A l’entrée de cette carrière, plusieurs équipements agricoles, vers le fond les chantiers avec plusieurs blocs taillés et numérotés.
Quelques graffitis de carriers et de signatures de soldats (1ère G.M) :
Cette carrière de calcaire, de dimension modeste, présente plusieurs marquages de soldats allemands. Au fond de cette carrière, une ancienne machine agricole rouille en silence.
Petite carrière de calcaire possédant quelques aménagements de 14/18. On y retrouve un ancien abreuvoir, des tôles abris et deux piliers maçonnés.
Cette vaste carrière de calcaire a connu une histoire mouvementée. La carrière s’est retrouvée en première ligne durant les combats opposant français et allemands sur le chemin des dames. Elle fut successivement occupée par les différents belligérants. Dernièrement, elle a accueilli une vaste champignonnière.
Visite antérieure (2017) :
Petite carrière de calcaire au milieu des champs. Le site a servi de lieu de stockage pour l’agriculture. Quelques gravures de 14/18 sont visibles dont une tête de cheval.
Petite carrière de calcaire en bordure de route. L’exploitation s’est faite ici sur plusieurs niveaux. La cavité est aujourd’hui envahie par les déchets, ce qui rend la progression difficile.
Vers le lieu dit la Pelle à Four, deux carrières accessibles. L’une plutôt étendue sert de stockage à patates et de casse automobile. L’autre plus petite accueille du matériel agricole.
La carrière de Guinant a servi de poste de commandement allemand. Il fut stocké ici de nombreuses munitions. Aujourd’hui, on retrouve encore quelques reste d’obus éclatés. Les galeries sont noircies par plusieurs incendies de véhicules.
Une petite carrière entourée par les champs. Peu profonde, plusieurs équipements agricoles gisent dans les galeries.
10 petites carrières en Picardie
Carrières de la Ruelle Maryon :
Carrière brumeuse :
Carrière Mesrine :
Marnière des marais :
Carrière des Quatre Muids :
Carrière Pondron :
Carrières de Carlepont :
Carrière des longues raies :
Carrière du Murger :
Carrière des Bises :
Plusieurs carrières en contrebas d’une ferme. De différentes tailles, l’une d’entre elles sert visiblement comme pièce de stockage. On y retrouve un ancien tacot bien rouillé.
Visite d’une petite carrière dont une grande partie est à ciel ouvert. La partie souterraine sert de stockage a du vieux matériels agricoles.
Tout un stock de vieilles bouteilles :
Un ensemble de vieilles charrettes :
Un vieux pressoir :
Une grande carrière à ciel ouvert possédant une partie souterraine. On retrouve sur place quelques bâtiments, un bulldozer et de très nombreux blocs de pierre.
Après un long chemin d’accès, arrivée à la carrière à ciel ouvert.
Plusieurs bâtiments s’y trouvent.
Plusieurs accès à la partie souterraine. Commencement par la partie atelier.
Quelques restes de champignonnière en motte.
Un wagonnet pour transporter / faire pivoter un bloc.
Dans une cavité annexe, une ancienne cabine de camion.
Derrière un champ de blocs et bien caché, un bulldozer attend un nouveau départ.
