Archives par étiquette : friche industrielle

La chemiserie industrielle

Cette ancienne usine fabriquait des chemises mais également de pulls, pantalons et parkas. La liquidation judiciaire fut prononcée en 2014, le site est depuis laissé à l’abandon. Un incendie a ravagé les anciens bureaux.

Usine des jardiniers

Cette ancienne fonderie à proximité de jardins ouvriers est à l’abandon. Ravagée par le temps et les dégradations humaines, la vieille usine sert occasionnellement de terrain d’airsoft.

L’usine de réveils électroniques

Cette usine de fabrication de réveils électroniques, située en cœur de ville est à l’abandon depuis au moins 25 ans. Le site n’a pas été dépollué et a servi de stockage pour des meubles en bois. Condamné à disparaître, il continu à hanter les alentours.

Dans la cour deux anciens camions rouillent en silence, cachés par la végétation :

L’usine de produits chimiques

Visite d’une grande usine de conception de produits chimiques. Le site, à l’état de friche industrielle, est loué occasionnellement comme terrain d’airsoft. Quelques machines subsistent dans ces grands hangars vides.

Les Grands Moulins du Nord

Visite d’une ancienne meunerie en pleine ville. Le site comporte plusieurs bâtiments d’époques variables. La direction se trouve dans un ancien manoir accolé à un des silos, plus loin sur le site les logements ouvriers.

Le site est aujourd’hui rasé dans sa totalité

Râperie de l’enfer

Dans la campagne Picarde, une ancienne râperie à l’abandon. Cette petite usine fabriquait du sucre à partir de betteraves. Le site a subi des transformation, une partie a commencé à être transformé en habitation mais le chantier a été abandonné.

Meunerie des milles trous

Cette meunerie (également appelée minoterie) ouverte en 1895 a fermé définitivement ces portes en 1972. Le site est depuis laissé en friche, sans aucun projet de reconversion.

La dangerosité de cette usine est importante, de très nombreux trous parsèment le sol. Parfois cachés sous des tas de planches usées, ils attendent le visiteur imprudent. Quelques vestiges d’exploitation restent visibles malgré plus de 40 ans d’abandon.

L’usine viticole

Cette usine viticole fut active de 1925 à 2014, date de sa cessation d’activité officielle. Le site se compose de halles industrielles, d’une partie chai et de la partie administrative. Dans cette dernière se trouve un petit laboratoire où était testé la mise en bouteille.

L’usine Marcel

Cette grande usine qui travaillait le caoutchouc a fermé ses portes en 1991. Le site actuel est divisé en deux parties : une partie abandonnée qui sert de temps en temps comme terrain d’airsoft, l’autre partie active est utilisée par des artisans qui y stocke du matériels.

Dans la partie délaissée, la nature a complètement envahi l’espace. Au milieu des murs tagués trônent arbustes et feuillages, ce qui rend le site plutôt photogénique et agréable à visiter.

Fonderie des milles et un moules

Cette ancienne fonderie est à l’abandon en pleine ville. Le site s’étend sur plusieurs hectares. Les bâtiments anciens cohabitent avec des plus récents. Dans les hangars traînent encore un très grand nombre de moules ayant servi à concevoir des pièces d’usinage.

Le site est aujourd’hui rasé dans sa totalité

 

 

La ferraille de Paulo

Dans un quartier en plein renouveau où les friches n’ont plus leurs places, cette ancienne ferraille fait grise mine. Elle doit être bientôt rasée pour y construire des logements.

A l’intérieur le bâtiment est vide mais bien conservé. Quelques vestiges subsistent comme deux vieilles chaudières, les guichets de vente et un coin cuisine.

Le site est aujourd’hui rasé dans sa totalité

Papeterie Saint Pierre

Une ancienne papeterie désaffectée, à l’abandon depuis un long moment déjà. Le site a bien vécu, pas mal tagué et vandalisé. Malgré ça, l’architecture et les volumes méritent quelques photos.

L’usine des fêtards

Fermée en 2014, cette grande usine a été vidée de son contenu. Rien ne témoigne de son activité passée. Ce site a fait parlé de lui suite à une gigantesque rave party sauvage qui a secoué la petite ville.

L’usine de la jubilation

D’allure plutôt banale, cette ancienne friche industrielle cache un véritable trésor. Dans ses hangars dorment, un nombre incalculable de pièces détachées et de machines outils. Toute la vie de l’entreprise semble stockée ici, en attente d’un nouveau départ. Fort heureusement, ce site reste pour le moment à l’abris des curieux et des ferrailleurs.

L’usine des ferrailleurs

Cette ancienne entreprise spécialisée dans le traitement de déchets métalliques a fermé il y a quelques années déjà. Le site a part la suite été occupé par les gitans. Suite à leur expulsion, la mairie a pris les devant en bloquant l’accès principal aux véhicules par de gros tas de remblais.