Visite d’une petite carrière dont une grande partie est à ciel ouvert. La partie souterraine sert de stockage a du vieux matériels agricoles.
Tout un stock de vieilles bouteilles :
Un ensemble de vieilles charrettes :
Un vieux pressoir :
Visite d’une petite carrière dont une grande partie est à ciel ouvert. La partie souterraine sert de stockage a du vieux matériels agricoles.
Tout un stock de vieilles bouteilles :
Un ensemble de vieilles charrettes :
Un vieux pressoir :
Le fort de la montagne est un ancien fort militaire de type Séré de Rivières. Le parc qui l’entoure est aménagé et ouvert à la visite. Le fort en lui même attend une reconversion, il est fermé au public.
Début de la visite par les caponnières entourant le fort.
Dans cette partie se trouvait un stand de tir, aujourd’hui désaffecté.
On y trouve de nombreux souterrains.
Par une chatière, il est possible d’accéder au fort. Seul le premier étage est visitable. L’accès au rez de chaussée est impossible.
La carrière Saint Pierre est une ancienne carrière de gypse d’île de France. Elle se repartit sur deux niveaux qui ne communiquent plus entre eux.
Ce compte rendu concerne uniquement le second niveau soit la deuxième masse. Le tunnel d’accès est en cours d’effondrement généralisé. Plusieurs zones de la carrière ne sont plus accessibles que par puits car coupées du reste des galeries.
Le tunnel d’accès à la carrière :
La carrière :
Les vestiges d’exploitation :
Visite d’une petite maison à l’abandon à proximité d’un stade communal.
Le terrain comprend une petite annexe bouchée par une quantité impressionnante de déchets.
Début de la visite de la maison par le premier étage. L’escalier a perdu plusieurs marches mais reste encore solide.
On y trouve deux chambres, l’une d’elle est envahie de meubles et de vêtements. Une petite salle d’eau complète l’étage.
Au rez de chaussée, une petite cuisine avec encore pas mal de mobiliers. Les murs sont peints de plusieurs couleurs donnant un cachet original à cette pièce.
Aux murs, de nombreux posters de chats.
Fin de la visite.
Début décembre, la maison a été rasée. Il ne subsiste qu’un terrain vague.
Dans une zone d’une grande carrière se trouve toute une partie restée encore en état depuis sa fermeture. Cette zone est en partie active et sert de stockage à un entrepreneur du coin.
Les restes d’exploitations sont nombreux . On y trouve un coin atelier avec tous ses outils. Plus loin une zone champignonnière en sac avec plusieurs véhicules dans un état de préservation exceptionnel.
MAJ : Carrière vidée et vandalisée, aujourd’hui sans intérêt
Plusieurs crapauds :
Plusieurs concasseuses :
Le front de taille avec quelques outils et blocs de pierre :
Dans la partie champignonnière, plusieurs vieux utilitaires Renault Galion pourrissent lentement.
Cette école d’architecture a été active de 1970 à 2004. Après de nombreux projets tombés à l’eau, le site est totalement à l’abandon. Très fréquenté par les jeunes, le site est surveillé par des rondes de police régulières.
Après avoir trouvé un trou dans le grillage et s’être assuré que la rue était vide, la visite peut débuter.
Peu de choses à voir dans les étages hormis des tags très présents et beaucoup de déchets. Quelques vues extérieures du bâtiment avant de revenir à l’intérieur.
Retour au rez de chaussée avec la visite des amphithéâtres.
Au dessus des amphithéâtres, un vestige de projecteur assez bien conservé, vu l’état général du bâtiment.
Après une petite heure de visite, retour vers la sortie.
La carrière de la mécanique aussi surnommée la carrière des ânes est une ancienne carrière de gypse. Aujourd’hui perdue en plein sous bois, il ne reste de cette cavité qu’un tunnel d’accès d’une centaine de mètre qui s’arrête définitivement sur un éboulement.
Exploration d’une ancienne usine qui fabriquait des produits métalliques ainsi que des meubles.
Après avoir attendu que la rue se vide, la visite peut commencer. Elle débute par les bureaux.
On y trouve beaucoup de dossiers éparpillés au sol et du mobilier de bureau. Le site ne semble pas avoir été vidé à sa fermeture.
A côté des bureaux, un mur éclaté permet d’accéder ensuite directement aux réserves des ateliers.
Dans une salle annexe, tout un tas de cartons et de publicités.
Une petite salle au fond des ateliers comprend quelques restes d’outillage.
Plusieurs machines sont encore présentes.
Encore des documents en quantité :
Dans une réserve, un meuble ancien avec de belles finitions.
Au premier étage, au dessus des bureaux, se trouve une salle d’archives. Des dossiers et quelques vieilles imprimantes dans leurs cartons sont visibles.
Retour vers les bureaux puis visite d’une autre zone d’ateliers.
Plusieurs étagères contiennent encore de l’outillage.
Des fûts contenant des produits dangereux sont présents. Fermée assez récemment, la dépollution n’a pas encore eu lieu.
Un petit carton contient encore quelques poignées.
Au bout d’une heure, fin de la visite. Celle-ci fut intéressante, il reste encore beaucoup de choses à voir. Il est toujours étonnant de trouver autant de matériels abandonnés lors de l’exploration de friches industrielles.
Ballade dans la carrière de sable de la Boulinière. Celle-ci comprend une grande partie à ciel ouvert et une quelques poches de souterrains.
A proximité de cet endroit, une grande sablière à ciel ouvert. Celle-ci renferme des rochers aux formes étonnantes :
Cette ancienne redoute militaire a accueilli il y a encore peu de temps un centre d’entraînement de la police nationale. Le site comprend plusieurs bâtiments dont certains ont été incendiés.
Pénétrer sur le site n’est pas évident car un chantier se trouve en face de l’entrée. Une visite le weekend est plutôt recommandée.
La visite débute par plusieurs bâtiments modernes sans grand intérêt et très tagués. L’un d’entre eux servait de réfectoire.
On y trouve encore le bar.
Dans une pièce adjacente, tout un tas d’armoires métalliques et quelques appareils de musculation.
Dans les étages, de nombreuses pièces, certaines avec un peu de mobiliers.
Quelques autocollantes : les dernières traces des anciens occupants.
Juste à côté des ces bâtiments, trois carcasses de préfabriqués complètement ravagées par le feu.
Direction maintenant, le grand bâtiment près des casernements. Celui-ci se trouve en contrebas des autres constructions
On y trouve un coin cuisine.
Des grands couloirs, quelques anciens lavabos collectifs.
Quelques vieux lits sont aussi présents.
Les casernements sont la partie la plus ancienne du site. Elle fut édifiée entre 1870 et 1874. Ils furent modernisés par la suite.
Dans l’un d’entre eux, un coin atelier.
Un petit escalier mène vers les baraquements précédemment visités.
Ce casernement abrite la chaufferie.
Quelques restes d’installation électrique, en grande partie pillée.
Une citerne qui devait fonctionner avec la chaufferie présente quelques mètres plus loin.
Cette partie est assez bien conservée, peu de graffitis.
Le sort de cette redoute est scellé. Les bâtiments modernes seront dépollués et détruits. La partie ancienne des casernements, classée aux monuments historiques sera conservée et réaménagée.
Une petite carrière en bordure de route. Plusieurs galeries sont murées et utilisées pour le stockage de matériaux.
Visite de l’ancienne station d’épuration de la ville de Pontoise. Fermée dans les années 80, elle était devenue le paradis des tagueurs et des promeneurs.
Le site a été entièrement rasé
Une vue de l’ensemble avec Geoportail.
Ce réseau de carrière labyrinthique est plutôt étendu. Dégradée vers l’entrée, elle devient plus propre et intéressante en s’enfonçant plus profondément. Plusieurs zones de champignonnières en sac sont présentes.
Les zones de champignonnières en sac :
Les bassins de carriers :
La carrière :
Graffitis et noms de rues :
Les graffitis « Lascaux » :
La carrière de la patate est une cavité souterraine très connue de l’île de France. Moyennement étendue, elle est encore utilisée de nos jours par un maraîcher qui y stocke une partie de sa production.
Les graffitis préhistoriques :
D’abord dédiée à l’extraction de la pierre calcaire, la carrière des Bombes fut transformée en champignonnière. L’activité fut intense, les sacs à champignons sont omniprésents.
Sa surface fut réduite du fait de l’agrandissement de la grande route qui la jouxte.