Visite d’une petite carrière à côté d’une maison abandonnée.










Visite d’une petite carrière à côté d’une maison abandonnée.










Visite de la carrière de gypse de Vaux Renard. De nos jours, il subsiste de ce grand réseau qu’un long tunnel avec de très belles arches de confortations.
Le massif forestier au dessus est interdit d’accès. Cette zone est dangereuse car de nombreux effondrements ont lieu en surface.
Cette petite carrière de gypse se trouve à proximité immédiate d’une résidence privée de plusieurs immeubles d’habitation. Son entrée est partiellement murée et jonchée de déchets. La partie la plus photogénique reste l’énorme fontis venu à bout.
MAJ ; la carrière est en cours de remblayage, des habitations sont en construction devant le cavage.
Cette carrière avait la particularité d’avoir son accès par cavage à une dizaine de mètres du sol. Un tas de remblais permettait temporairement d’y accéder. Elle a accueilli pendant les bombardements de la ville, des populations civiles.
De nombreux vestiges étaient présents au moment de cette visite. D’anciens lits et tonneaux d’une époque reculée témoignaient de l’utilisation de cette carrière en refuge.
La carrière a aujourd’hui disparu sous des tonnes de remblais
La carrière de Port Maron est une ancienne carrière d’extraction de gypse. Sa superficie est évaluée à 30 hectares. Elle fut active jusqu’à la fin des années 70. De nombreux wagonnets, rails et autres vestiges d’exploitation sont encore visibles aujourd’hui. Cette carrière abrite un grand lac souterrain mais la forte concentration de co2 à cet endroit réduit la visite de cette zone.
L’état de la carrière est préoccupant, de nombreux effondrements sont visibles dès l’entrée, les renforts métalliques cèdent sous la pression du massif au dessus. Autre danger mortel, le fort taux de co2 dans les galeries surtout près du lac souterrain.
Le lac souterrain :
Les équipements de la mine :
La zone inondée :
Graffitis de carriers :
Visite d’août 2018 :
Visites antérieures à 2018 :
La carrière Sebillote fut utilisée pour l’extraction de blocs de gypse, elle fut par la suite transformée en champignonnière. L’exploitation s’est fait ici sur des mottes. De gros effondrements sont visibles dans certaines zones de la carrière.
Cette carrière renferme toute une collection de graffitis anciens :
La carrière Gandrille a servi en tant que champignonnière. Plutôt vaste, l’intérieur est propre. Ici, pas de tags, ni de traces d’incendie, ce qui rend la visite agréable.
Autour du cavage, on trouve plusieurs baraquements et un ancien camion dévoré par les arbustes.


A l’entrée de la carrière, la partie bureau avec encore un peu de mobilier.



Le vestiaire avec ses casiers :


Un peu plus loin une balance de champignonniste.
Dans les caves, plus de sacs à champignons. Tout a été vidé à la fermeture.



La partie chaudière avec ses cuves à fioul.










Après s’être promené dans les caves et les galeries d’inspection, retour vers l’entrée en repassant par la zone atelier.

Sur une palette, tout un tas de pierre :

Sortie de la carrière et fin de cette visite.

Visite d’une petite carrière dont une grande partie est à ciel ouvert. La partie souterraine sert de stockage a du vieux matériels agricoles.



Tout un stock de vieilles bouteilles :

Un ensemble de vieilles charrettes :





Un vieux pressoir :

La carrière Saint Pierre est une ancienne carrière de gypse d’île de France. Elle se repartit sur deux niveaux qui ne communiquent plus entre eux.
Ce compte rendu concerne uniquement le second niveau soit la deuxième masse. Le tunnel d’accès est en cours d’effondrement généralisé. Plusieurs zones de la carrière ne sont plus accessibles que par puits car coupées du reste des galeries.
Le tunnel d’accès à la carrière :
La carrière :
Les vestiges d’exploitation :
Dans une zone d’une grande carrière se trouve toute une partie restée encore en état depuis sa fermeture. Cette zone est en partie active et sert de stockage à un entrepreneur du coin.
Les restes d’exploitations sont nombreux . On y trouve un coin atelier avec tous ses outils. Plus loin une zone champignonnière en sac avec plusieurs véhicules dans un état de préservation exceptionnel.
MAJ : Carrière vidée et vandalisée, aujourd’hui sans intérêt



Plusieurs crapauds :




Plusieurs concasseuses :








Le front de taille avec quelques outils et blocs de pierre :



Dans la partie champignonnière, plusieurs vieux utilitaires Renault Galion pourrissent lentement.









La carrière de la mécanique aussi surnommée la carrière des ânes est une ancienne carrière de gypse. Aujourd’hui perdue en plein sous bois, il ne reste de cette cavité qu’un tunnel d’accès d’une centaine de mètre qui s’arrête définitivement sur un éboulement.
Ballade dans la carrière de sable de la Boulinière. Celle-ci comprend une grande partie à ciel ouvert et une quelques poches de souterrains.
A proximité de cet endroit, une grande sablière à ciel ouvert. Celle-ci renferme des rochers aux formes étonnantes :
Une petite carrière en bordure de route. Plusieurs galeries sont murées et utilisées pour le stockage de matériaux.



Ce réseau de carrière labyrinthique est plutôt étendu. Dégradée vers l’entrée, elle devient plus propre et intéressante en s’enfonçant plus profondément. Plusieurs zones de champignonnières en sac sont présentes.
Les zones de champignonnières en sac :
Les bassins de carriers :
La carrière :
Graffitis et noms de rues :
Les graffitis « Lascaux » :
La carrière de la patate est une cavité souterraine très connue de l’île de France. Moyennement étendue, elle est encore utilisée de nos jours par un maraîcher qui y stocke une partie de sa production.
Les graffitis préhistoriques :