Archives de l’auteur : Benoman

Carrières des Sept cavages

Ce réseau de carrière labyrinthique est plutôt étendu. Dégradée vers l’entrée, elle devient plus propre et intéressante en s’enfonçant plus profondément. Plusieurs zones de champignonnières en sac sont présentes.

Les zones de champignonnières en sac :

 

Les bassins de carriers :

 

La carrière

 

Graffitis et noms de rues :

 

Les graffitis « Lascaux » :

 

 

 

 

 

Carrière de la patate

La carrière de la patate est une cavité souterraine très connue de l’île de France. Moyennement étendue, elle est encore utilisée de nos jours par un maraîcher qui y stocke une partie de sa production.

Les graffitis préhistoriques :

 

 

 

 

 

 

la carrière des Bombes

D’abord dédiée à l’extraction de la pierre calcaire, la carrière des Bombes fut transformée en champignonnière. L’activité fut intense, les sacs à champignons sont omniprésents.

Sa surface fut réduite du fait de l’agrandissement de la grande route qui la jouxte.

 

 

 

 

 

 

 

La villa Sapene

La villa Sapene ou appelée aussi le « bordel allemand » est une grande maison ruinée perdue dans les bois. Il ne subsiste que les murs tagués. A noter la présence d’airsofteurs le weekend.

L’accès aux étages est possible mais assez dangereux.

 

 

Carrière méli mélo

Une grande carrière à ciel ouvert possédant une partie souterraine. On retrouve sur place quelques bâtiments, un bulldozer et de très nombreux blocs de pierre.

Après un long chemin d’accès, arrivée à la carrière à ciel ouvert.

Plusieurs bâtiments s’y trouvent.

Plusieurs accès à la partie souterraine. Commencement par la partie atelier.

Quelques restes de champignonnière en motte.

Un wagonnet pour transporter / faire pivoter un bloc.

Dans une cavité annexe, une ancienne cabine de camion.

Derrière un champ de blocs et bien caché, un bulldozer attend un nouveau départ.

 

 

 

Collège de l’écrivain

Visite d’un ancien collège fermé car ne répondant plus aux normes de sécurité actuelle. Les bâtiments sont amiantés et vétustes.

Début de l’exploration par le bâtiment le plus récent, le plus proche de l’entrée. Peu de chose à voir hormis quelques outils et un hall bien lumineux.

Direction les deux bâtiments de type Pailleron.

Les toilettes extérieur :

Visite du premier Pailleron.

Bilan : De grandes pièces vide, de long couloirs, peu de dégradations.

Après avoir fait rapidement le tour de ce bâtiment, direction son voisin.

Quelques fresques dessinées par les élèves sur les murs et sur certaines portes.

Une petite pièces avec des étagères. Sur les plateaux, quelques dossiers servant à la gestion de la nourriture.

 

Dans une classe quelques anciens bureaux d’une époque révolue.

Des chaises au bout d’un couloir :

Une salle de cours avec son estrade et son tableau :

A côté, une ancienne salle qui devait accueillir les cours de biologie. On y trouve encore les anciens bureaux. Quelques carcasses de vieux PC sont éparpillées sur les tables. Cette salle reste la plus photogénique du site.

A l’étage, la réserve des produits dangereux avec son armoire blindée. Quelques solvants sont encore présents.

La visite de ce bâtiment se révèle plus intéressante. Entres ces salles de cours, ces anciens mobiliers, on s’imagine assez facilement la vie qu’a abrité ce collège.

Pour conclure, l’exploration de cet ancien collège fut enrichissante. Il est agréable de voir que l’ensemble du site à échapper pour le moment aux barbouilleurs. Que deviendra t’il ? Son sort est pour l’instant incertain car le coût de son désamiantage bloque tout projet.

 

 

L’usine des pelleteuses

Cette ancienne usine placée en liquidation judiciaire fut rachetée et une partie des bâtiment fut rasée.  Quelques mois après la société d’aménagement fait faillite et les engins de chantiers sont laissés à l’abandon.

On arrive sur le site par un vaste terrain vague où gisent une ancienne citerne et une roue.

Début de la visite par le premier bâtiment qui devait être les bureaux de la société.

Par la fenêtre, une vue sur le deuxième bâtiment :

Le deuxième bâtiment devait être les ateliers. L’architecture est magnifique avec sa façade en brique et ses motifs en abeilles .

Accrochées au plafond, plusieurs roues qui devaient actionner des machines.

Deux machines rescapées qui servaient à travailler le métal.

Plusieurs engins de chantier, des pelleteuses et un semi remorque aux pneus crevés.

 

 

La cité fantôme

Visite d’un ancien lotissement dont les 3/4 des maisons sont murées et barricadées. Plusieurs sont accessibles mais l’intérieur est vide.

Plusieurs boites aux lettres remplies de prospectus moisis :

 

 

Carrière du pylône

La carrière du pylône fait partie de l’un des 3 réseaux de cavités de Caumont. Elle sert régulièrement aux entraînements de spéléologie. Peu étendue, cette carrière offre toutefois des volumes aussi impressionnants que sa voisine des Maquisards.

 

 

 

 

 

 

 

Club jour et nuit

Dans un bois privé, complètement à l’écart de la civilisation, un complexe à l’abandon. On y trouve une piscine, un cours de tennis, un étang et plusieurs bâtiments. Une boite de sécurité y exercer son activité.

Dans un bâtiment, un coin bar avec des banquettes.

L’ancienne piscine avec un plongeoir. Celle-ci est pleine d’eau stagnante et de déchets.

Un coin barbecue :

Au milieu du complexe, un étang de petite taille.

Sur le rivage, une ancienne barque qui prend l’eau.

Carrière des Trente Esseins

Très vaste carrière de calcaire transformée en champignonnière en sacs. La culture fut ici intensive. A certains endroits la carrière fut exploitée sur plusieurs niveaux

Visite antérieure de 2017 :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Carrières de la Croix Proux

Plusieurs habitations troglodytes au lieu dit la Croix Proux.

Les restes d’une ancienne cheminée :

A l’intérieur, plusieurs abreuvoirs avec leurs anneaux qui devaient accueillir des chevaux.

Un authentique four à pain dans un endroit reculé de la cavité.

Quelques outils agricoles.

 

Carrières de la Carlette

Des habitations troglodytes et une carrière de taille moyenne au lieu dit La Carlette. A cet endroit furent fusillés plusieurs villageois soupçonnés d’aider les soldats français lors de la guerre 14/18.

Les habitations troglodytes :

Un peu plus loin une carrière avec deux entrées. La première est une pièce de stockage, l’autre conduit à la carrière. Sur le fronton une stèle en souvenirs des villageois assassinés.

Deux anciens dessins au noir de fumée !