Ancienne manufacture de chaussettes qui a fermé ses portes en 2011. Le site industriel ne semble pas avoir été vidé à sa fermeture, la grande majorité des machines sont encore présentes ainsi que le reste de la production. Actuellement en friche, les anciens bâtiments attendent une possible reconversion, affaire à suivre.
Cette grande usine a fabriqué des fours et des cuisinières encastrables pour le grand public. Elle fut active jusqu’à sa fermeture définitive fin 2004. A cette époque, elle employait plus de deux cents salariés sur ce site.
L’ensemble du site a été vidé. Il ne subsiste quasiment aucune trace de ses années de service. Les volumes sont impressionnants avec de magnifiques halles avec toiture en béton et puits de lumières.
Située en pleine ville et en bordure d’immeubles flambant neufs, l’usine fait dorénavant tâche dans le paysage. Le site subit pillages et incendies dans l’attente de sa reconversion.
Cet ancien moulin abandonné dans le Val d’Oise, a abrité une usine de tire bouchons. Les bâtiments ont beaucoup souffert du vandalisme et des multiples incendies. Les toitures et les planchers sont à terre. Il reste cependant quelques vestiges de machines.
A noter aussi dans un coin du jardin, la présence d’une épave de Citroën CX :
L’usine Yorkshire a fermé ses portes en 2005 en laissant une centaine de salariés sur le carreau. Celle-ci fabriquait des colorants pour l’industrie. Une partie des bâtiments de la friche industrielle sont utilisées par une entreprise encore active aujourd’hui. Les bâtiments restants sont laissés en friche.
Cette petite friche industrielle à l’abandon, d’allure banale, abrite quelques surprises. Située à côté d’un terminus de bus en activité, l’accès se révèle assez peu discret. Dans un des hangars, 4 épaves de voitures citadines oubliées ainsi qu’un pont roulant.
Le site est aujourd’hui rasé dans sa totalité
Les laboratoires de la Biomarine furent créés par Marcel Bosquet, un Rouennais. Sur place fut conçu le Marinol, un médicament à base d’eau de mer. L’usine centenaire était localisée en plein cœur de la ville de Dieppe. Désaffecté, le site industriel sera remplacé par un projet immobilier de logements.
Le site est aujourd’hui rasé hormis la grande halle conservée
Cette ancienne usine fabriquait des chemises mais également de pulls, pantalons et parkas. La liquidation judiciaire fut prononcée en 2014, le site est depuis laissé à l’abandon. Un incendie a ravagé les anciens bureaux.
Cette ancienne fonderie à proximité de jardins ouvriers est à l’abandon. Ravagée par le temps et les dégradations humaines, la vieille usine sert occasionnellement de terrain d’airsoft.
Cette usine de fabrication de réveils électroniques, située en cœur de ville est à l’abandon depuis au moins 25 ans. Le site n’a pas été dépollué et a servi de stockage pour des meubles en bois. Condamné à disparaître, il continu à hanter les alentours.
Dans la cour deux anciens camions rouillent en silence, cachés par la végétation :
Cette grande usine qui travaillait le caoutchouc a fermé ses portes en 1991. Le site actuel est divisé en deux parties : une partie abandonnée qui sert de temps en temps comme terrain d’airsoft, l’autre partie active est utilisée par des artisans qui y stocke du matériels.
Dans la partie délaissée, la nature a complètement envahi l’espace. Au milieu des murs tagués trônent arbustes et feuillages, ce qui rend le site plutôt photogénique et agréable à visiter.
