Cette carrière de calcaire de petite superficie présente des volumes impressionnants.
- Carrières des Petits Bois
Cette carrière de calcaire de petite superficie présente des volumes impressionnants.
Cette carrière de calcaire est divisée en 3 parties. La première contient du vieux matériels agricoles et de beaux volumes, la deuxième sert pour le stockage de patates et est fermée. La dernière plus haute est malheureusement un dépotoir pour voitures brûlées / volées.
Cette champignonnière a fermé ses portes en 2013. Un peu dégradée vers l’entrée, les galeries sont plus propres en s’enfonçant. Cette carrière a été renforcée par de nombreux piliers en béton, un nouveau quartier a poussé au dessus.
Cette ancienne carrière a abrité une champignonnière jusque dans les années 50/60. Le site est très propre, pas de tags, ni de zone noircie. La culture s’est fait ici sur des mottes, encore visibles par endroit. A noter la présence de nombreux graffitis de carriers allant du soutien au parti communiste, aux encouragements au cycliste Louison Bobet. Deux bassins de champignonniste sont également présents.
Cette carrière de calcaire a perdu les 4/5 de sa superficie. Il ne subsiste aujourd’hui qu’une petite partie qui sert de lieu de fête aux jeunes du coin. L’accès à cette partie se fait par un puits à échelons puis en rampant dans un tuyau métallique.
Dans cette petite carrière de calcaire, de nombreux témoignages d’une époque reculée. On y trouve un ancien véhicule ainsi que des vieux tonneaux. Malheureusement le véhicule a subi des dégradations et un des tonneaux a fini en morceau. Près de l’entrée un portrait de soldat.
Cette carrière de calcaire moyennement étendue a servi de champignonnière. Très peu de vestiges présents, à part une ancienne machine à l’entrée et quelques graffitis de carriers.
La carrière de la Violette est une vaste carrière de gypse d’île de France. Cette carrière, reconvertie en champignonnière, s’étend sur plus de 10 hectares. Celle-ci est très fortement affectée par les effondrements. Les piliers et renforts métalliques cèdent les un après les autres. Vers une des entrées gît une ancienne Renault Vivasix.
Visite de 2020 :
Visites antérieures :
Dans la même zone, les vestiges d’une carrière dont les 3/4 des galeries sont à terre. Un peu plus loin une carrière de calcaire de taille modeste. Plutôt bien préservée, on retrouve dans cette carrière de nombreux graffitis de carriers ainsi qu’une vieille machine agricole.
Cette petite carrière de calcaire fut remaniée par les soldats allemands stationnés là lors de la période 14/18. De nombreux tunnels ont été creusés, ceux ci débouchent sur des salles d’écoutes où étaient scrutés l’avancée des troupes Françaises toutes proches.
Cette petite carrière, située à flanc de coteau, a servi de refuge aux Poilus de l’armée Française. Le champs de bataille était tout proche, plusieurs milliers de soldats Français sont morts ou ont été mutilés dans les alentours. Quelques vestiges rassemblés à l’entrée de la carrière, rappellent la dureté des combats engagés ici.
Cette grande carrière de craie fut exploitée à ciel ouvert, aucune trace de souterrains ici. Sur place sont visibles des bâtiments ruinés et des fronts rocheux.
Cette carrière fut exploitée en majorité à ciel ouvert mais une petite grotte sur le terrain abrite quelques vieux échafaudages.
Cette carrière de calcaire, moyennement étendue, présente des volumes impressionnants. Les fontis y sont nombreux et donnent un certain charme à cette jolie carrière.
Cette grande carrière de craie se divise en 3 parties. Elle possède plusieurs cavages qui ont été remblayés ou sécurisés. La partie visitée ici est indépendante des deux autres. Assez vaste, elle a abrité une champignonnière en sac.
Carrière du galopin