Un bunker allemand perdu en plein bois et restauré par une association de passionnés.
Archives de catégorie : Bunkers / Forts / Bases militaires
Bunkers Allemands de la Côte
Un ensemble de plusieurs bunkers Allemands sur les hauteurs d’un petit village de Lorraine. Ces ouvrages ont été édifiés durant la Première Guerre mondiale, ils sont aujourd’hui encore bien préservés et richement décorés.
Bunkers des Fontenailles
Un ensemble de bunkers allemands dans un sous bois, au milieu des champs. Parfaitement préservés, on y retrouve encore les inscriptions d’époque.
Bunker de la Nationale
Petit bunker isolé en plein sous bois, parfaitement préservé. Celui-ci fait partie du système de défense allemand qui protégeait le ravin des Loups.
Camp militaire de la poudrière
Ce vaste terrain militaire de plus de 200 hectares a servi de camp de prisonniers durant la guerre 14/18. Par la suite ce camp servi de stockage de munitions et d’équipements. Désaffecté, il attend sa reconversion et sa dépollution qui s’annonce très onereuse.
Camp militaire de la fosse aux Cailloux
Ce camp militaire a fermé ses portes dans les années 2000 suite à la dissolution du régiment qui l’occupait. Encore en partie désaffecté, le site va reprendre vie via un projet d’hôtel d’entreprise et la remise en état des bâtiments existants.
Bunker de l’Otan
Ce bunker a eu plusieurs usages à travers l’histoire. Il a servi aux communications de l’Otan avant d’être converti en entrepôt d’habits militaires. Il est aujourd’hui à l’abandon depuis plus de 25 ans.
Bunker de l’Homme Mort
Petit bunker en bordures de champs.
Bunkers des paysans
Dans un champ en activité se trouve deux bunkers. L’un est facilement accessible et proche de la route, le deuxième plus éloigné ne sera pas visité cette fois ci. L’intérieur se compose d’un long couloir donnant sur deux salles étanches. L’une est sale et taguée, l’autre mieux préservée est visible ici sur les photos.
Batterie des réservoirs
La batterie des réservoirs se situe dans le parc du domaine de Marly, dans la commune de Marly le Roi. Ce réseau de fortification participait à la protection du fort du trou d’enfer. Le site de la batterie a été déboisé pour une meilleure mise en valeur. Ce site est accessible au public et se visite légalement.
Gendarmerie décrépie
L’ancienne gendarmerie de Crépy en Valois a fermé ses portes en 2009. Il n’y avait plus grand chose à voir à l’intérieur si ce n’est les cellules de garde à vue.
Le site est aujourd’hui détruit.
Base militaire de la montagne
Cette ancienne base militaire se situe au bout d’une route pentue, en haut d’une colline. Le site a été démilitarisé et n’est plus actif. En l’attente d’un projet viable, le site est régulièrement squatté, dégradé et sert aussi de terrain d’airsoft sauvage.
Caserne des forces de l’ordre
Visite d’une ancienne caserne militaire à l’abandon depuis bientôt une dizaine d’années. Le site est très grand et se répartit sur plus d’une quinzaine de bâtiments. L’ensemble de la caserne est dans un état de conservation plus que correct, peu de dégradations.
Ce site admirable devrait revivre car des projets existent et doivent être finaliser prochainement.
Fort de la montagne
Le fort de la montagne est un ancien fort militaire de type Séré de Rivières. Le parc qui l’entoure est aménagé et ouvert à la visite. Le fort en lui même attend une reconversion, il est fermé au public.
Début de la visite par les caponnières entourant le fort.
Dans cette partie se trouvait un stand de tir, aujourd’hui désaffecté.
On y trouve de nombreux souterrains.
Par une chatière, il est possible d’accéder au fort. Seul le premier étage est visitable. L’accès au rez de chaussée est impossible.
Le fort des CRS
Cette ancienne redoute militaire a accueilli il y a encore peu de temps un centre d’entraînement de la police nationale. Le site comprend plusieurs bâtiments dont certains ont été incendiés.
Pénétrer sur le site n’est pas évident car un chantier se trouve en face de l’entrée. Une visite le weekend est plutôt recommandée.
La visite débute par plusieurs bâtiments modernes sans grand intérêt et très tagués. L’un d’entre eux servait de réfectoire.
On y trouve encore le bar.
Dans une pièce adjacente, tout un tas d’armoires métalliques et quelques appareils de musculation.
Dans les étages, de nombreuses pièces, certaines avec un peu de mobiliers.
Quelques autocollantes : les dernières traces des anciens occupants.
Juste à côté des ces bâtiments, trois carcasses de préfabriqués complètement ravagées par le feu.
Direction maintenant, le grand bâtiment près des casernements. Celui-ci se trouve en contrebas des autres constructions
On y trouve un coin cuisine.
Des grands couloirs, quelques anciens lavabos collectifs.
Quelques vieux lits sont aussi présents.
Les casernements sont la partie la plus ancienne du site. Elle fut édifiée entre 1870 et 1874. Ils furent modernisés par la suite.
Dans l’un d’entre eux, un coin atelier.
Un petit escalier mène vers les baraquements précédemment visités.
Ce casernement abrite la chaufferie.
Quelques restes d’installation électrique, en grande partie pillée.
Une citerne qui devait fonctionner avec la chaufferie présente quelques mètres plus loin.
Cette partie est assez bien conservée, peu de graffitis.
Le sort de cette redoute est scellé. Les bâtiments modernes seront dépollués et détruits. La partie ancienne des casernements, classée aux monuments historiques sera conservée et réaménagée.