Petite carrière nichée entre champs et forêt. De beaux volumes, de beaux jeux de lumière et quelques traces de carriers intéressantes.
- Carrière du Godemichet
Petite carrière nichée entre champs et forêt. De beaux volumes, de beaux jeux de lumière et quelques traces de carriers intéressantes.
Cette carrière de calcaire a servi d’infirmerie pour les troupes françaises durant la guerre 14/18. On trouve des traces rupestres de cette époque mais aussi un bas relief plus récent, réalisé par des passionnés de souterrains. Celui-ci est en l’honneur du Dr Prat, médecin militaire ayant séjourné dans cette cavité.
Plusieurs habitats troglodytiques à proximité d’un hôpital abandonné. On y trouve d’anciens pressoirs et d’outils ayant servi à la vinification.
Cette carrière de calcaire a été reconvertie en champignonnière. La culture se faisait ici en sacs à substrats. On retrouve peu de traces des carriers, à part quelques signatures en fond de carrière. De nombreux éboulements sont visibles avec de beaux fontis proches des entrées.
Cette petite carrière de calcaire fut reconvertie en champignonnière artisanale. Bien que de taille modeste, on retrouve dans cette cavité plusieurs puits de ventilation. Les champignons étaient remontés à la surface par d’imposants seaux métalliques via un large puit d’extraction. Aujourd’hui l’accès à cette carrière se fait via un escalier tortueux qui reste difficile à localiser depuis la surface.
Petite carrière qui fut occupée par les soldats français durant la période 14/18. On y trouve de nombreux bas reliefs, gravures et un magnifique autel dans le fond de la carrière.
Deux petites carrières voisines l’une de l’autre et difficiles d’accès. La plus vaste porte sur son cavage les hommages au Capitaine Jules Bosquet. Ce militaire Français, héros de la Grande guerre, fut tué au combat en 1918 dans les environs proches de ces 2 cavités.
Un ensemble de 2 carrières souterraines et de petites cavités résiduelles, perdues en pleine forêt Picarde. Les soldats Français dont notamment les Zouaves ont séjournés en ces lieux. Les témoignages sont très nombreux : gravures, bas reliefs et aménagements militaires sont encore visibles de nos jours.
Le Rocher de la Victoire :
Les 2 carrières et cavités proches :
Cette petite creute, isolée entre champs et forêts, a abrité une infirmerie durant la guerre 14/18. De belles gravures témoignent du passage des soldats. Elle servit par la suite de cimetière pour engins agricoles comme l’atteste le grand nombre de charrettes présentes.
Petit habitat troglodytique perdu au fond d’un bois de Picardie. Celui-ci aurait servi de poste de commandement au 418ème RI durant la guerre 14/18. On y trouve quelques signatures et dessins illisibles, rongés par l’humidité.
Cette petite creute forestière a son cavage perdu en pleine forêt. Celle-ci fut exploitée sur 2 niveaux d’exploitation. Les éboulements sont nombreux surtout au niveau inférieur. On retrouve de nombreuses traces de carriers dont un diplôme d’un jeune apprenti.
Après avoir visité les tunnels plus au sud de ce ravin il y a quelques années, nous partons à la découverte du tunnel plus au nord. Celui-ci comporte plusieurs galeries et pièces aménagées. Près d’une ancienne sortie un mur maçonné avait pour but de protéger les soldats en cas d’attaque. Plusieurs bas reliefs sont visibles mais abimés par des visiteurs indélicats.
Petite carrière en bordure de champs dont le cavage est en partie remblayé. On trouve vers l’entrée plusieurs gravures allemandes 14/18.
Petite carrière occupée par l’armée allemande durant la période 14/18. De belles traces rupestres visibles un peu partout dans la carrière. Son accès est aujourd’hui difficile à localiser en haut d’une butte.
Une petite crypte qui serait d’origine templière. Son accès est difficile à localiser et pratiquer dans une nature luxuriante.